Le04/07/2022. CommuniquĂ© de presse du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. AprĂšs le drame survenu la semaine derniĂšre dans une micro‐crĂšche de la ville de Lyon, nous nous associons trĂšs sincĂšrement Ă  la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice Petite enfance - "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" toujours mobilisĂ© PubliĂ© le 14 mars 2011 Social, Jeunesse, Ă©ducation et formation Quelques centaines de professionnels de la petite enfance ont fait grĂšve et ont manifestĂ© vendredi 11 mars en France, pour rĂ©clamer un "accueil de qualitĂ©" pour les tout-petits, une mobilisation qui a conduit Ă  de nombreuses fermetures de crĂšches, notamment Ă  Paris. A Paris, une dĂ©lĂ©gation du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" a Ă©tĂ© reçue au ministĂšre. "Nous avons exposĂ© notre plan d'urgence pour la petite enfance", qui porte des revendications comme le retrait du dĂ©cret assouplissant les rĂšgles d'accueil, a indiquĂ© Ă  l'AFP Pierre Suesser au nom du collectif. "Nous avons convenu de nous revoir en avril", a-t-il ajoutĂ©. A Paris, sur 421 Ă©tablissements, la mairie a recensĂ© 136 fermetures et 75 ouvertures partielles avec un total de 417 grĂ©vistes sur personnels. Selon le collectif, 67 crĂšches sur 76 Ă©taient fermĂ©es totalement dans le Val-de-Marne. Trente et une Ă©taient totalement fermĂ©es, et 24 partiellement, sur 59 en Seine-Saint-Denis. A Bordeaux, environ 150 des quelque 500 salariĂ©s soit 34,30% de grĂ©vistes des 30 crĂšches Ă©taient en grĂšve, selon la mairie. Huit structures Ă©taient totalement fermĂ©es et sept partiellement. A Nancy, 8 crĂšches sur 12 Ă©taient fermĂ©es. A Strasbourg, 65 agents ont Ă©tĂ© recensĂ©s par la mairie comme grĂ©vistes, soit environ 45% des effectifs. A Lyon, d'aprĂšs la mairie, 18 crĂšches Ă©taient fermĂ©es vendredi, 10 Ă©taient perturbĂ©es et 20 Ă©taient ouvertes. La grĂšve semblait moins suivie Ă  Grenoble, avec, sur 33 crĂšches, trois fermĂ©es toute la journĂ©e, selon le Centre communal d'action sociale. Des rassemblements modestes ont rassemblĂ© quelques dizaines de personnes Ă  Annecy, Nancy ou encore Besançon. Depuis dĂ©jĂ  plus d'un an, certains professionnels protestent contre le dĂ©cret du 7 juin 2010 portant sur les Ă©tablissements et services d'accueil des enfants de moins de 6 ans qui assouplit les rĂšgles d'accueil en crĂšche, en augmentant le taux maximal de personnels non qualifiĂ©s en remplaçant par exemple des auxiliaires de puĂ©riculture ou Ă©ducateurs par des CAP "Petite enfance" et en permettant aux crĂšches d'accueillir plus d'enfants. A l'issue de la rencontre de vendredi, le ministĂšre a fait valoir dans un communiquĂ© que l'une des prioritĂ©s est bien "d'offrir une solution de garde de qualitĂ© aux parents en amĂ©liorant la capacitĂ© d'accueil des jeunes enfants", avec un objectif de 200 000 places d'accueil supplĂ©mentaires d'ici 2012, sachant que "par ailleurs, une rĂ©flexion est menĂ©e pour un bilan d'Ă©tape du plan MĂ©tier Petite Enfance de dĂ©cembre 2008". Le ministĂšre assure Ă©galement qu'"Ă  l'exception de la garde au domicile des parents, tous les modes d'accueil continueront de faire l'objet d'un contrĂŽle et de normes de fonctionnement qui visent Ă  en garantir la sĂ©curitĂ© et la qualitĂ©"
 et prend soin de relever que "ce sont les dĂ©partements - conseils gĂ©nĂ©raux et leurs services de protection maternelle et infantile - qui sont chargĂ©s d'agrĂ©er et de contrĂŽler les crĂšches et les assistantes maternelles". Tout juste deux jours plus tĂŽt, Roselyne Bachelot avait prĂ©sentĂ© en Conseil des ministres une communication relative Ă  "la mise en Ɠuvre Ă  mi-parcours du plan de dĂ©veloppement de la garde des jeunes enfants 2009-2012", qui rappelait lĂ  encore l'objectif de " solutions de garde individuelles et collectives supplĂ©mentaires en quatre ans" et indiquant que "concernant l'accueil collectif, environ places nouvelles ont Ă©tĂ© créées en deux ans", lesquelles "ont bĂ©nĂ©ficiĂ© Ă  environ 46 000 enfants en 2009 et en 2010". En prĂ©ambule de son "plan d'urgence", le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne estime quant Ă  lui qu'il manque "au moins 300 000 Ă  400 000 places pour l'accueil des tout petits". Et met l'accent sur le glissement sĂ©mantique souvent opĂ©rĂ© entre "places" et "solutions d'accueil" et sur ce qu'implique la notion d' "amĂ©lioration du taux d'occupation". Dans ses propositions ou revendications, il insiste notamment sur la question de la formation et de la promotion professionnelle, sur "la crĂ©ation de nouvelles structures collectives publiques ou Ă  but non lucratif" abondĂ©es par l'Etat, la Cnaf et les collectivitĂ©s, ou encore sur le caractĂšre prĂ©judiciable du systĂšme de la prestation de service unique PSU de la Cnaf pour le financement de l'accueil collectif financement Ă  "l'heure de prĂ©sence".
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Lesmembres du collectif "Pas de bébés à la consigne !" vont manifester ce mardi matin à Montpellier, pour contester les réformes prévues dans les crÚches et la petite enfance. Par Jean

Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Un rassemblement et une grĂšve avaient pour but de prĂ©server la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Le personnel des crĂšches ne veut pas de dĂ©gradation du mode d’accueil des petits enfants Il s’inquiĂšte d’une nouvelle rĂ©forme gouvernementale gardĂ©e secrĂšte aprĂšs le dĂ©cret Morano de 2009 qui viserait Ă  rĂ©duire l’encadrement et la surface par enfant. Actuellement, il faut 7 mÂČ par enfant, l’espace serait rĂ©duit Ă  5, 5 mÂČ L’encadrement est actuellement d’une auxiliaire pour 5 bĂ©bĂ©s et une pour 8 enfants qui marchent. Avec cette rĂ©forme, le personnel qualifiĂ© pourrait ĂȘtre remplacĂ© par des personnes non qualifiĂ©es. Les manifestantes rejettent la marchandisation de la petite enfance. Il faut savoir que le financement par la CAF dĂ©pend du taux d’occupation. On assiste aussi Ă  la multiplication des crĂšches privĂ©es, plus chĂšres pour les parents. Selon la dĂ©lĂ©guĂ©e CFDT, la qualitĂ© de l’accueil est maintenue pour l’instant Ă  Besançon dans les 12 crĂšches municipales sous la responsabilitĂ© des Ă©lus M Dahoui et de Madame Rosa Rebrab La mairie de Besançon a mis en place un guichet unique pour inscrire son enfant soit dans une des 12 crĂšches collectives offrant 470 places pour un accueil rĂ©gulier, soit dans les crĂšches familiales ou les haltes garderies Un rassemblement a Ă©tĂ© organisĂ© Ă  14 h esplanade des droits de l’homme avec le soutien des syndicats CFDT, FO et Sud. Le personnel de la crĂšche des Chaprais, rue Suard, une des plus grosses de la ville Ă©tait reprĂ©sentĂ© Un petit groupe qui travaille dans une crĂšche privĂ©e Ă©tait aussi prĂ©sent Selon le syndicat FO, 152 agents de la Petite Enfance Ă  Besançon se sont dĂ©clarĂ©s grĂ©vistes ce jeudi 23 mai 2019 Cette mobilisation entre dans le cadre d’une mobilisation nationale des agents des structures de la petite enfance. Le but du mouvement est de prĂ©server la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Les syndicats craignent des mesures du projet de rĂ©forme du ministĂšre de l’action sociale et de la santĂ© taux d’encadrement dĂ©gradĂ©, possibilitĂ© d’accueil en surnombre, surface d’accueil rĂ©duite, etc. Voici les revendications du mouvement national Atteindre l’objectif d’un ratio moyen d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants en Ă©tablissement d’accueil du jeune enfant Ă  l’horizon 2022. Revenir Ă  un ratio d’au moins 50% de professionnels les plus qualifiĂ©s en EAJE, mesure qui devrait ĂȘtre immĂ©diatement suivie d’un plan de formation initiale et continue permettant d’élever progressivement ce ratio. Limiter les possibilitĂ©s d’accueil en surnombre Ă  110% de l’effectif en EAJE. Garantir une surface de 7 mÂČ minimum par enfant. Élever globalement les niveaux de qualification de l’ensemble des professionnel-le-s des modes d’accueil individuels et collectifs, en formation initiale et formation continue diplĂŽmante et permettre Ă  tous de bĂ©nĂ©ficier de rĂ©els parcours de promotion professionnelle. Instituer et financer des temps d’analyse sur les pratiques professionnelles en EAJE et pour les assistant-e-s maternel-le-s exerçant Ă  domicile. RedĂ©finir le mode de financement des EAJE en encadrant la tendance Ă  rentabiliser » les temps d’accueil au dĂ©triment de la qualitĂ© d’accueil. About Author Billets similaires
Lecollectif « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » s’est constituĂ© dĂ©but 2009 pour offrir un rassemblement Ă  tous ceux et celles qui veulent combattre la politique de dĂ©rĂ©glementation poursuivie par le gouvernement en matiĂšre d’accueil des jeunes enfants, qu’ils s’agissent des structures collectives ou des services individuels (assistantes maternelles).
En Centre-Val de Loire, le secteur de la petite enfance se mobilise contre la loi d’AccĂ©lĂ©ration de simplification de l’Action Publique d’Adrien Taquet. Elle prĂ©voit d’augmenter la capacitĂ© d’accueil des crĂšches et des assistantes maternelles sans d'autres moyens. "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" a lancĂ© un nouvel appel national Ă  manifester contre la rĂ©forme Taquet, SecrĂ©taire d’Etat chargĂ© de la petite enfance et des familles. Une rĂ©forme dans les tuyaux depuis prĂšs d’un an et qui devrait s’appliquer petite Ă  petit courant 2021. Le personnel de la petite enfance manifeste ce matin Ă  Tours, Bourges et crĂšches, micro-crĂšches et assistantes maternelles sont en grĂšves pour montrer leur mĂ©contentement face Ă  cette rĂ©forme qui augmente la capacitĂ© d’accueil des structures sans octroyer de moyens gouvernement veut baisser la surface minimale d’accueil par enfant en ville en passant de 7m2 Ă  5,5 m2. Il souhaite aussi que la marge de 15% d’enfants accueillis en surnombre en crĂšche ne soit plus exceptionnelle mais appliquĂ©e tous les jours. La rĂ©forme touche aussi le personnel encadrant. Les assistantes maternelles pourraient accueillir jusqu’à 6 enfants alors qu’aujourd’hui les agrĂ©ments sont pour 3 ou 4 enfants. En collectivitĂ©, le ratio annuel d’encadrement sera de 60% d’auxiliaires de puĂ©riculture et 40% de CAP petite enfance ou d’apprentis. Alors qu’aujourd’hui, les apprentis ne sont pas comptĂ©s dans les encadrants et les professionnels sont pour moitiĂ© auxiliaires de puĂ©riculture et l’autre moitiĂ© diplĂŽmĂ©s d’un CAP petite enfance."La rentabilitĂ© au dĂ©triment du bien-ĂȘtre"Pour Adeline Leguizet, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral CGT OrlĂ©ans MĂ©tropole, cette rĂ©forme c’est "la rentabilitĂ© au dĂ©triment du bien-ĂȘtre des enfants." Des crĂšches en surcapacitĂ©s, des professionnels surchargĂ©s, voilĂ  ce que le gouvernement a prĂ©vu pour le secteur de la petite les professionnels mobilisĂ©s, cette dĂ©gradation des conditions de travail aura un impact sur une on va permettre aux enfants qu’on accueille dans nos Ă©tablissement d’ĂȘtre bien, de bien se dĂ©velopper, d’avoir la sĂ©curitĂ© affective nĂ©cessaire, plus on en fera des adultes Ă©panouis et solides. Or lĂ  on est en train de dire, on peut faire du surnombre. Plus d’enfants pour le mĂȘme nombre de personnel. On diminue la qualitĂ© de travail, la qualitĂ© d’espace vital pour chaque enfant, donc la qualitĂ© d’épanouissement Vandermeersche, dĂ©lĂ©guĂ©e syndicale CFDT OrlĂ©ans MĂ©tropoleJeudi 4 fĂ©vrier, une nouvelle mobilisation nationale du secteur de la petite enfance contre cette rĂ©forme est prĂ©vue, cette fois-ci uniquement Ă  l’appel de la CGT. Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appelle les professionnel‧les de la petite enfance, les parents, les chercheur‧es, les citoyen‧nes Ă  tĂ©moigner inlassablement de la rĂ©alitĂ© actuelle dans les

Petite enfance. Certaines structures restent fermĂ©es mardi 30 mars 2021, y compris dans la rĂ©gion, afin de dĂ©noncer la rĂ©forme des taux d’encadrement, perçue comme nĂ©faste pour la qualitĂ© de l’accueil. Les professionnels craignent une dĂ©gradation des conditions d’accueil. photo d’archives PN PubliĂ© 29 Mars 2021 Ă  17h42 Temps de lecture 2 min Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » c’est sous ce mot d’ordre national que s’organise depuis des annĂ©es la contestation des structures d’accueil petite enfance, face aux diffĂ©rentes rĂ©formes visant Ă  modifier les taux d’encadrement. Un appel Ă  la grĂšve est lancĂ© ce mardi 30 mars, en rĂ©action au texte actuellement portĂ© par le secrĂ©taire d’État chargĂ© de la protection de l’enfance, Adrien rĂ©forme, intĂ©grĂ©e Ă  la loi ASAP AccĂ©lĂ©ration et simplification de l’action publique, prĂ©voit notamment la facultĂ© d’opter pour un taux d’encadrement unique d’un professionnel pour six enfants ». Or, pour les grĂ©vistes fĂ©dĂ©rĂ©s derriĂšre le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », ce taux d’encadrement ne doit pas dĂ©passer un professionnel pour cinq enfants, quel que soit l’ñge ». Autres revendications visant Ă  protĂ©ger la qualitĂ© de l’accueil et les conditions de travail des salariĂ©s la garantie d’une surface de 7 mÂČ minimum par enfant », le maintien de la capacitĂ© des microcrĂšches Ă  dix enfants la rĂ©forme la porte Ă  douze bambins, ou encore le refus de voir des directions d’établissements confiĂ©es Ă  des professionnel le s sans expĂ©rience... Difficile de mobiliser » À titre personnel, c’est ce dernier point qui m’inquiĂšte le plus », confie une salariĂ©e de structure petite enfance Ă  Rouen, oĂč plusieurs crĂšches municipales resteront fermĂ©es ce mardi. Au Havre, la mairie ne fait Ă©tat que de deux Ă©tablissements publics partiellement impactĂ©s par la grĂšve. C’est difficile de mobiliser dans la rĂ©gion, ces prĂ©occupations semblent lointaines » et le mouvement Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » n’a pas vraiment de reprĂ©sentation locale », poursuit la professionnelle rouennaise. De fait, si des manifestations sont prĂ©vues un peu partout en France ce mardi, aucune mobilisation visible n’est organisĂ©e en Normandie. Ce qui ne veut pas dire que la lassitude n’est pas rĂ©elle. On parle tout le temps des Ă©coles face Ă  la crise sanitaire, dĂ©plore la salariĂ©e grĂ©viste Ă  Rouen. Mais jamais des structures petite enfance ! » Lire aussi GranulĂ©s et bois de chauffage pourquoi les prix s’enflamment en Normandie VIDÉO. Alerte Ă  la sĂ©cheresse comment les cours d’eau sont-ils surveillĂ©s ? Gagner du temps et de l’argent dans l’Eure, l’Agence de la ruralitĂ© va faciliter la vie des maires A lire aussi Cinq bonnes raisons de participer aux Nuits Impressionnistes, trois jours de fĂȘte en Normandie Projet de carriĂšre Ă  Cahaignes la rĂ©ponse du commissaire-enquĂȘteur Adrien Morin, un super gendarme Ă  la tĂȘte de la compagnie des Andelys Une rue bloquĂ©e Ă  Gisors aprĂšs l’arrachement d’une conduite de gaz Dans les restos routiers 7/7. Le Balto, le rendez-vous convivial de Richeville À Vernon, 1 500 foyers privĂ©s d’électricitĂ© pendant plus d’une heure Voir plus d'articles

Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifestĂ©, ce 30 mars, en dĂ©but d’aprĂšs-midi,

La grogne ne faiblit pas dans les crĂšches Ă  propos de la rĂ©forme des modes d’accueil du jeune enfant prĂ©vue par la loi d’AccĂ©lĂ©ration et de Simplification de l’Action Publique ASAP portĂ©e par Adrien Taquet, SecrĂ©taire d’État Ă  l’Enfance et aux syndicats des professionnels de la petite enfance, ainsi que le collectif “Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne” ont fait grĂšve et manifestĂ© ce mardi 2 les grandes lignes, cette rĂ©forme va faire passer Ă  12 enfants la capacitĂ© d’accueil maximale des micro-crĂšches, Ă  un taux d’encadrement unique d’un professionnel pour 6 enfants contre actuellement 1 pour 5 enfants qui ne marchent pas et 1 pour 8 enfants qui marchent, et Ă  5,5 m2 au lieu des 7 m2 recommandĂ©s la surface d’accueil par enfant dans les grandes villes et zones fait, cette rĂ©forme “permettra de crĂ©er, sans dĂ©lai, des places de crĂšches supplĂ©mentaires”, indique le gouvernement. Seulement voilĂ , pour les professionnels du secteur, ces mesures vont Ă  l’encontre de l’intĂ©rĂȘt de l’enfant, mais aussi Ă  l’encontre des recommandations du rapport de la Commission des 1 000 jours, commandĂ© par le gouvernement.“Le gouvernement annonçait une loi de simplification et d'harmonisation il nous offre la dĂ©rĂ©glementation aux dĂ©pens de la qualitĂ© d'accueil des tout‐petits”, dĂ©plore le collectif “Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne”. Ce dernier dĂ©taille que la mesure prĂ©voit 15% d'enfants accueillis en surnombre en crĂšche tous les jours. Ainsi, “un Ă©tablissement de 20 places pourrait accueillir jusqu’à 23 enfants, pour 40 places jusqu’à 46 enfants, et pour 60 places jusqu’à 69 enfants”. “Nous craignons de ne plus pouvoir disposer demain de la meilleure disponibilitĂ© pour vos enfants et de ne plus rĂ©pondre Ă  votre attente”, indique le collectif dans une lettre adressĂ©e aux mesures font en revanche l’unanimitĂ© ou presque, comme le contrĂŽle des antĂ©cĂ©dents judiciaires de l’ensemble des professionnels de l’accueil du jeune enfant, ou encore la gĂ©nĂ©ralisation de temps de rĂ©flexion sur les pratiques professionnelles, Ă  raison d’une demi-heure par mois dans les crĂšches encore insuffisant pour le collectif “Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne”, et Ă  titre expĂ©rimental pour les assistantes avez envie d’en parler entre parents ? De donner votre avis, de partager votre tĂ©moignage ? On se retrouve sur

Avantles dĂ©crets dĂ©rogatoires adoptĂ©s durant la crise sanitaire, seules les micro‐crĂšches avaient cette possibilitĂ© (rester seul jusqu’à 3 enfants), aujourd’hui toutes
Publié le 09/04/2010 à 1152 Les auxiliaires de puériculture se sont rassemblées sur la place des Fontaines pour participer à la journée nationale de grÚve contre le décret Morano. Elles réclament une politique publique ambitieuse pour nos enfants leur permettant d'accéder à un mode d'accueil de qualité. Elles se mobilisent contre le décret Morano qui peut conduire à une dégradation des dispositifs existants au détriment des besoins fondamentaux des enfants diminution du personnel qualifié éducateurs de jeunes enfants, puéricultrices et auxiliaires de puériculture passant de 50 à 40 % dans les crÚches et haltes garderies, baisse du taux d'encadrement d'un adulte pour 8 enfants qui savent marcher à 1 adulte pour 12 enfants. Pour les enfants qui ne marchent pas le quota passe de 1 nounou pour 5 enfants à 1 pour 8. Présence en maternelle d'un enseignant et d'un ATSEM à temps plein pour 15 enfants. Toutes les structures de Montauban ont fermé leurs portes hier aprÚs-midi. La demande du retrait du décret a été formulée à la préfecture ainsi que l'obtention d'un plan d'urgence de la petite enfance pour que chaque enfant soit accompagné et soutenu, en toute sécurité, dans son développement.
Lecollectif Pas de bébé à la consigne 35 appelle une nouvelle fois à mobilisation aprÚs la derniÚre mobilisation du 30 mars 2021 : Veuillez trouver ci dessous le tract ainsi que le préavis de grÚve au format PDF : tract_pas_bb_consigne_3_juin_2021 Télécharger. Preavis-de-greve-national-le-3-juin-2021 Télécharger.

Publié le 24/03/2010 à 1054 Les slogans étaient recherchés, comme cela est souvent le cas lorsque le sort des enfants est en jeu. Ni sardines, ni à la consigne, les bébés garderont bonne mine ! », expliquent avec le sourire les membres du collectif animé par des acteurs de la petite enfance. Le collectif Pas de bébés à la consigne ! » parents et professionnels s'était fortement mobilisé pour la journée d'action du jeudi 11 mars avec un grand nombre d'établissements dans l'action. Hier, la crÚche d'Agen était fermée ; du personnel de crÚches associatives s'était déplacé à la manifestation. Nous voulons préserver la qualité de l'accueil des tout-petits », commente Karol Dubois, secrétaire du syndicat des territoriaux de la CGT, une des composantes du collectif. En cause, le retrait du décret contesté. Décret décrié A Agen hier, une délégation a été reçue par le directeur de cabinet du maire d'Agen, Jean Dionis du Séjour. Une motion lui fut remise à défaut de rencontrer le député-maire ».Personnels et parents refusent les dégradations annoncées par le gouvernement sur la qualité des modes d'accueil des jeunes enfants ». Le collectif réclame également l'ouverture de négociations sur l'accueil des petits. Sans réponse favorable, le principe d'une journée nationale est décidé pour le jeudi 8 avril.

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Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne Nous vous invitons Ă  signer la pĂ©tition « Plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance ». Depuis deux ans, le collectif « pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » se mobilise avec les parents, les professionnels, les citoyens et de nombreux Ă©lus, pour dĂ©velopper les modes d’accueil de la petite enfance en assurant la qualitĂ© et la sĂ©curitĂ©

l'essentiel "Les bĂ©bĂ©s ne sont pas des sardines", qu’on entasse. Les professionnels de la petite enfance ont utilisĂ© des slogans chocs, hier, pour dire leur opposition Ă  la future ordonnance qui risque de dĂ©grader fortement les conditions d’accueil des bĂ©bĂ©s. Le mouvement national "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", s’est mobilisĂ© hier, devant la prĂ©fecture, Ă  l’appel de la CFDT Interco. L’appel a rassemblĂ© une centaine de professionnels de la petite enfance, inquiĂšte des consĂ©quences des mesures par ordonnance et dĂ©crets, actuellement Ă  l’étude par le gouvernement. Les professionnels craignent des changements dans l’accueil et la prise en charge des enfants. En attendant cette ordonnance qui devait "tomber en fĂ©vrier", mais sera reportĂ©e selon les syndicats, place donc Ă  l’apprĂ©hension. "Notre travail n’est pas de mettre des enfants dans une piĂšce et de fermer la porte", rappelle GaĂ«l Lafarge, secrĂ©taire adjoint dĂ©partemental CFDT. Un surnombre de 115 % ?Les personnels de la petite enfance qui attendent l’aboutissement des Ă©changes, souhaitent des prĂ©cisions sur le ratio de 50/50 avec des professionnels diplĂŽmĂ©s d’État, une surface de 7 m2 par enfant accueilli, des horaires dits "atypiques", sous condition, une reconnaissance salariale des postes de direction par un dĂ©roulement de carriĂšre et une capacitĂ© "du surnombre" limitĂ©e Ă  110 %. "Aujourd’hui, le gouvernement veut aller Ă  une capacitĂ© de 115 %, du lundi au vendredi, vous imaginez les conditions d’accueil", ajoute GaĂ«l Lafarge. Ces professionnels souhaitent Ă©galement une reconnaissance des compĂ©tences des puĂ©ricultrices et infirmiĂšres par une valorisation financiĂšre. Globalement, Interco CFDT demande au ministĂšre en charge de ce dossier "d’abattre ses cartes" rapidement."Il y a eu des Ă©changes entre les syndicats et le secrĂ©tariat d’État Ă  la cohĂ©sion social, il y a plus d’un an de cela. Depuis, on n’a plus de nouvelles. Il est temps de savoir ce que le gouvernement prĂ©voit", ajoute le reprĂ©sentant syndical. À l’issue de la manifestation, une contribution, rĂ©digĂ©e par la CFDT, a Ă©tĂ© remise Ă  la prĂ©fecture. La contribution demande, entre autres, "un changement de paradigme par la prise en co mpte d’abord de l’enfant dans une sphĂšre sĂ©cure et bienveillante".
Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! " c'est le slogan qui a Ă©tĂ© scandĂ© pendant la manifestation des deux cents professionnels de la petite enfance Ă  Montpellier. Un mouvement de grĂšve national Plan d’urgence en faveur de l’accueil de la petite enfance vendredi 20 mai 2011 par popularitĂ© 4% >>> TĂ©lĂ©charger la brochure du collectif "pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne". >>> TĂ©lĂ©charger la pĂ©tition du collectif "pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne". >>> Signer la pĂ©tition en ligne. Un Plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance ! Articuler vie familiale et vie professionnelle pour les parents, tout en accueillant les bĂ©bĂ©s de façon personnalisante en crĂšche ou chez une assistante maternelle, constitue un enjeu majeur de sociĂ©tĂ©. Pourtant, en 2011, alors que plus de deux mĂšres sur trois travaillent, moins de la moitiĂ© des enfants entre 0 et 3 ans ont une place dans un mode d’accueil. Pour rĂ©pondre aux besoins, il manque 500 000 places pour l’accueil des tout petits. Avec pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », nous exigeons un Plan d’urgence pour un accueil de qualitĂ© en faveur de la petite enfance 1 - crĂ©ation massive de nouvelles structures collectives pour rĂ©pondre aux besoins d’accueil des familles ; dĂ©veloppement de l’accueil des jeunes enfants exclusivement dans le secteur public ou Ă  but non lucratif, Ă  l’abri de tout objectif de concurrence et de rentabilitĂ© et en excluant la petite enfance du champ d’application de la directive europĂ©enne Services ; 2 - formation de 10 000 professionnel-les par an qualifiĂ©-es dans le domaine de l’accueil de la petite enfance correspondant Ă  la crĂ©ation de 200 000 places en accueil collectif sur 3 ans ; 3 - garantie d’une vĂ©ritable professionnalisation de tous les accueillants assistantes maternelles, titulaires du CAP petite enfance
, par la promotion professionnelle vers les mĂ©tiers les plus qualifiĂ©s pour de vĂ©ritables carriĂšres dans le secteur de la petite enfance ; 4 - pluridisciplinaritĂ© des Ă©quipes d’accueil incluant des compĂ©tences en santĂ©, en Ă©ducation et en psychologie du jeune enfant ; 5 - amĂ©lioration des taux actuels de professionnel-les qualifiĂ©-es et des ratios d’encadrement dans les Ă©tablissements d’accueil de jeunes enfants et retrait du nouveau dĂ©cret sur l’accueil collectif ; 6 - pour les enfants de 2-3 ans, dĂ©veloppement des grandes sections de crĂšches et de l’accĂšs Ă  l’école maternelle dans des conditions adaptĂ©es Ă  cet Ăąge, et abandon des jardins d’éveil payants pour les familles ; 7 - abaissement du reste Ă  charge financier pour les familles, leur permettant rĂ©ellement d’accĂ©der au mode d’accueil de leur choix, pour aller progressivement vers la gratuitĂ© des modes d’accueil. Parents, professionnels, nous ne poserons pas bagage Ă  la consigne, nous exigeons du gouvernement le financement d’un Plan d’urgence pour les modes d’accueil, qui voyage loin et grand pour les petits. 1WIx.
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